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METHOGLU

Promoteur: 
AP-HP
Investigateur coordonnateur: 
HOUILLIER Caroline
Centre coordonnateur: 
AP-HP - Hôpital La Pitié-Salpêtrière
Unité de Recherche Clinique coordonnatrice: 
URC Pitié-Salpêtrière (HUPSL)
Établissement(s): 
  • AP-HM - Hôpital de la Timone adultes
  • AP-HP - Hôpital La Pitié-Salpêtrière
  • AP-HP - Hôpital Saint Louis
  • CHRU Nancy - Hôpital Central
  • CHU Clermont-Ferrand - Hôpital Estaing
  • CHU Rennes - Hôpital Pontchaillou
  • ICANS - Institut de cancérologie Strasbourg Europe
  • Institut Bergonié
  • Institut Curie - Hôpital de Paris
  • Institut du Cancer de Montpellier (ICM)
Population: 
Patients
Statut de l’essai clinique: 
Inclusions en cours

Essai de phase I METHOGLU : reprise d’une chimiothérapie par méthotrexate à haute dose, à intervalle raccourci, en association avec le glucarpidase, pour des lymphomes primitifs du système nerveux central en rechute

Vous êtes atteint(e) d’un lymphome primitif du système nerveux central actuellement en rechute au niveau cérébral. Il s’agit d’une pathologie rare pour laquelle le traitement optimal à la rechute n’est pas clairement établi. Lors de votre traitement initial, vous avez reçu un traitement de chimiothérapie comprenant notamment un médicament qui s’appelle le METHOTREXATE, qui vous a été administré à haute dose. Le méthotrexate à haute dose est le médicament reconnu pour être le plus efficace dans cette pathologie et il a permis de mettre votre maladie en rémission complète (c’est-à-dire de faire disparaître toute trace active de votre maladie) sur une période de plus de 6 mois. Plusieurs études ont montré que, dans ce type de situation, le méthotrexate pouvait à nouveau avoir une bonne efficacité dans une situation de rechute. Notre hypothèse pour la recherche METHOGLU : L’administration de méthotrexate à haute dose se fait habituellement tous les 14 jours. Cet espacement des perfusions est justifié par la toxicité du médicament, notamment au niveau rénal. Dans cette recherche, nous faisons cependant l’hypothèse que des administrations plus rapprochées, si elles s’avéraient possibles en termes de toxicité, seraient plus efficaces pour traiter la maladie. Il existe à l’heure actuelle un antidote du méthotrexate, appelé GLUCARPIDASE, qui permet de couper le méthotrexate en molécules inactives et de faire ainsi diminuer en quelques minutes la concentration sanguine de méthotrexate.

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