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BUSPARK

Promoteur: 
AP-HP
Investigateur coordonnateur: 
REMY Philippe
Centre coordonnateur: 
AP-HP - Hôpital Henri Mondor-Albert Chenevier
Unité de Recherche Clinique coordonnatrice: 
URC Henri Mondor (HUHMN)
Établissement(s): 
  • AP-HM - Hôpital de la Timone adultes
  • AP-HP - Hôpital Henri Mondor-Albert Chenevier
  • AP-HP - Hôpital La Pitié-Salpêtrière
  • CHRU Nancy - Hôpital Central
  • CHU Amiens-Picardie - Site Nord
  • CHU Besançon - Hôpital Jean Minjoz
  • CHU Caen Normandie - Hôpital Côte de Nacre
  • CHU Clermont-Ferrand - Hôpital Gabriel-Montpied
  • CHU Dijon Bourgogne - Hôpital François Mitterrand
  • CHU Lille - Hôpital Roger Salengro
  • CHU Montpellier - Hôpital Gui de Chauliac
  • CHU Reims - Hôpital Maison Blanche
  • CHU Rennes - Hôpital Pontchaillou
  • CHU Rouen - Hôpital Charles-Nicolle
  • CHU Toulouse - Hôpital Purpan
  • HCL - Hôpital Pierre Wertheimer
  • Hôpitaux universitaires de Strasbourg - Hôpital de Hautepierre
Population: 
Patients
Statut de l’essai clinique: 
Suivi terminé

Traitement par la buspirone des dyskinésies iatrogènes de la maladie de Parkinson. Etude multicentrique, contrôlée, randomisée, en double insu

La maladie de Parkinson dont vous souffrez est une maladie neurologique affectant le système nerveux central en diminuant votre taux de dopamine, responsable de troubles à prédominance motrice. Il n’y a actuellement pas de traitement curatif disponible et seuls les traitements oraux visant à remplacer la dopamine manquante permettent de contrôler les symptômes de manière satisfaisante au début de la maladie. Après une phase sans effets secondaires importants, la prise de ces médicaments peut induire des mouvements involontaires, appelés dyskinésies, qui peuvent être gênants dans la vie quotidienne. Ces dyskinésies pourraient être dues à une altération de neuromédiateurs tels que la sérotonine. Cette recherche a pour objectif d’atténuer ces dyskinésies induites par la lévodopa, et ainsi d’améliorer votre qualité de vie. Pour répondre à la question posée dans la recherche, il est prévu d’inclure 100 personnes présentant la maladie de Parkinson avec des dyskinésies gênantes, dans des établissements de soins situés en France.

Contacter l'équipe de coordination de l'essai

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Assistance publique Hôpitaux de Paris